Ceci est mon blog d'origine, à consulter avec ses pendants : "Mes amis papillons" et la "Gazette des arts"

samedi 18 février 2012

le printemps (français) ?

Il a suffi de quelques jours à +7°, la neige a disparu d'un coup, la glace aussi, laissant le jardin pétrifié....sauf....

...oui, à y bien regarder, les crocus sont sortis !


 



















un, puis deux ; puis quatre !
...........et les perce-neige ont profité du départ de la neige pour ressortir la tête !

 



















le soleil est revenu ; la nature recommence (comme avant) ; les candidats se sont tous déclarés ; certains ont déjà renoncé ; les noms d'oiseau commencent ...à voler ; les agences de notation continuent de nous... observer...(on peut pas dire que l'argent public soit le moins du monde...économisé... ); les parisiens (aisés) sur les Alpes se sont...rués. L'argent (des élections ...mais pas que...) coule à flots le plus souvent...emprunté (on a réussi miraculeusement à se refinancer avec des taux bas, ...ouf !). On rit (jaune) des Grecs (et des Espagnols...) mais nous risquons de les ...imiter...(1)

                                         le printemps (français) va-t-il commencer ?


(1) je le reconnais volontiers : je chipote : les élections, par exemple nous coûtent 65 millions d'Euros. Une miette par rapport au déficit de 1700 milliards : le prix de quatre ministres : le député René Dosière calcule en effet qu’un ministre «coûte» à la collectivité, près de 17 millions d'euros, par an, (ce total comprend les frais de personnel, la communication, les loyers, les frais de fonctionnement et ce qu'il appelle : le train de vie, n'entrons pas trop dans les détails). René ajoute qu’une réduction du nombre des ministres à 15, permettrait une économie d'environ 1 milliard d'euros, sur la durée d'un quinquennat. Espérons que si François gagne, il va vraiment passer aux actes ! Je ne parle pas des sous-préfectures, et de toute cette intendance administrative, pléthorique en temps de crise. Je reconnais encore une fois qu'il ne s'agit que de petits ruisseaux... Il n'est pas question cependant d'y toucher, encore moins les grandes rivières, et surtout pas les fleuves ! Le plus grand fleuve par exemple, est le remboursement de la dette : 118 milliards, dont 49 des seuls intérêts ! 80 milliards de capital quand-même : à ce tarif, il faut 20 ans pour rembourser...des dépenses qui ne sont que de fonctionnement ! aucun investissement là dedans ! La TVA y passe carrément (130milliards). On dirait que Monti en Italie commence, lui, à s'en préoccuper sérieusement....il ferait même payer le foncier appartenant au Vatican ! En Espagne, le nombre des chômeurs a de quoi affoler ! En Grèce, on y va carrément à la hache ! Indignons nous...! ce n'est pas suffisant ! entrons en résistance ! Nous réclamons des comptes raisonnables ! Comme dans nos ménages ! Il faut vraiment que l'Etat réduise son train de vie !